Assistance technique industrielle

L’assistance technique industrielle,
un enjeu important de l’ industrie 4.0


Le concept de l’industrie 4.0

La troisième révolution industrielle fut l'apparition de l'automatisation et de l'informatique sur les chaines de productions dans les années 60. La production de masse est alors devenue automatique et fiable, mais il lui manquait encore une composante essentielle face à un marché en pleine évolution : L'autonomie, au travers de l'IA.

Le concept d'industrie 4.0 est mentionné pour la première fois au forum mondial de l'industrie de Hanovre en 2011. Dès lors, il va devenir omniprésent dans le monde de l'industrie, qui voit dans ce concept la 4e révolution industrielle, avec l'avènement de l'usine intelligente et des objets interconnectés. La "smart industry" repose sur différentes technologies, telles que :

  • L'intelligence Artificielle
  • L’internet des objets (IIoT*),
  • L'impression 3D
  • La réalité augmentée,
  • La réalité virtuelle,
  • Les cobots
  • Le big data
  • Le cloud
  • et bien d'autres...

L'industrie 4.0, c'est la combinaison efficiente de toutes ces technologies en vue de la réorganisation de l'industrie classique de production de masse.  Les grandes promesses de cette quatrième révolution industrielle sont de séduire les consommateurs avec des produits uniques et personnalisés, et malgré de faibles volumes de fabrication, de maintenir des gains. L'usine intelligente, va donc répondre directement au besoin client, qui, via l'internet et les applications adaptées, pourra configurer son produit, puis lancer en fabrication à l'unité ou en petite série. Par extrapolation, on pourrait imaginer que plus tard, l'utilisateur pourrait même prendre le contrôle des machines de production à distance, pour réaliser son produit en autonomie.


La mise en oeuvre de l'usine 4.0

L’usine 4.0 est aussi un système interconnecté qui relie machines, méthodes de gestion (telles que les Enterprise Resource Planning, ERP) et les produits. Il s’agit de l'organisation d’un “nouvel atelier” qui peut prendre les formes suivantes :

  • Une usine innovante
  • Une usine totalement digitalisée
  • Une usine flexible
  • Une usine tournée vers ses acteurs externes
  • Une usine responsable sur le plan sociétal
  • Une usine économe et responsable sur le plan environnemental

L’autonomie des lignes de productions bouleverse également de nombreux secteurs et réorganise la vie de l’entreprise, en modifiant les corps de métiers et les affectations d’une partie des salariés à leurs postes de travail. Outre les nouveaux emplois, en maintenance ou en automatisme par exemple, qui émergent de cette nouvelle organisation des chaines de production, la demande en R&D et en assistance technique industrielle, devient prépondérante.

La transition de l'ancien modèle de production vers le nouveau, ne pourra pas se faire sans l'intervention d'une main d'oeuvre humaine et qualifiée. De même, la maintenance de ces lignes de productions "tout automatique" aura besoin d'études régulières pour faire évoluer ses lignes de production, et nécessitera un service d'assistance technique industrielle réactif et compétent.

 


Evolution de l'outil de production classique vers un système 4.0

Pour une entreprise classique, la phase de transition vers une production intelligente doit se faire après une analyse précise du terrain, à savoir une étude approfondie de l'outil de production existant, et une étude de marché visant à définir l'évolution des besoins clients.

L' anticipation de tous ces changements très importants doit se faire au travers de l'expertise de professionnels qualifiés appartenant à différents corps de métiers. Chacun des intervenants devra travailler en étroite collaboration avec les autres afin de rendre optimale la finalisation du projet de mise à jour.

L’assistance technique industrielle, propose une gamme de service allant de l’analyse d’une ligne de production existante, afin d’en améliorer le fonctionnement, où bien le développement d’une toute nouvelle ligne de production autonome dédiée aux nouveaux process client. Quel que soit la solution choisie, il faudra également former le personnel à l’utilisation de ces nouveaux outils.

Après avoir réalisé l’implantation d’un nouveau système, des techniciens et opérateurs seront formés à l'utilisation de la nouvelle ligne de production.

 


Un nouveau rôle pour les opérateurs

Lorsque la mise à jour ou le remplacement de l'outil de production est achevé, le rôle des opérateurs va évoluer, afin de répondre au mieux aux besoins inhérents à ces améliorations des moyens industriels.

En exemple, le concept de closed door machining consiste à équiper une ligne de production de machines autonomes, capables d’enchaîner des phases d’usinage en continu avec le minimum d’intervention humaine. En déployant les processus et la supervision ad hoc, il permet de faire fonctionner les lignes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de mieux anticiper l’organisation des tâches de l’atelier, et de limiter les risques pour les personnes comme pour la production lors de la manipulation des pièces et matériaux.

Dans cette perspective, le rôle de l’opérateur évolue : il monte en compétences pour devenir un pilote d’îlot, capable de conduire plusieurs machines à la fois. Grâce à l’implantation de systèmes de communication adaptés (grand écran, tablette…), l’opérateur se concentre notamment sur les tâches de supervision et de contrôle à forte valeur ajoutée pendant que les machines travaillent en autonomie.


Maintenance et évolution des lignes de production 4.0

L’évolution des technologies et des process de fabrication vont très vite, il faut rester en permanence à l’écoute du marché afin de suivre ses évolutions, ses contraintes et ses opportunités. Pour cela, il faudra assurer la maintenance, la formation des opérateurs, mais également une mise à jour régulière de l'outil de production. Les disciplines concernées sont variées :

  • La mécanique
  • L'instrumentation
  • La programmation d'automates
  • La maintenance électrique
  • La maintenance des îlots robotisés
  • Le déploiement de nouveaux systèmes informatiques

C’est en ce sens, que les bureaux d'études spécialisés dans l’assistance technique industrielle, révèlent leur expertise. En effet, cela va permettre de conserver la ligne de production à un haut degré de fiabilité, en procédant à des mises à jour régulières, en faisant intervenir des techniciens qualifiés qui sauront maintenir l’outil de  production à son niveau de performances maximales. Dans une industrie 4.0 où tout va très vite, il faudra également être continuellement à l'écoute du marché, afin d'anticiper les besoins, et adapter les outils.

Par ailleurs, le personnel de gestion et les opérateurs sur site, devront être formés en continue pour suivre les améliorations de leur outil de travail, et maintenir, un haut degré de compétence.

 


L’assistance technique industrielle,
moteur essentiel du maintien de l’outil de production de l'industrie 4.0

L’autonomie complète des machines a ses limites, même si les technologies ont beaucoup évolué dans ce sens ces 20 dernières années, l’IA, comme les machines interopérables, interconnectées, et autonomes, ont une limite à leur champ d’action.

Pour que tout fonctionne bien, il faudra toujours des opérateurs humains à la supervision de l’ensemble, afin de surveiller la bonne tenue de route des opérations. L’assistance technique industrielle, et ses personnes qualifiées sont les éléments de développement indispensables à la nouvelle industrie 4.0, qui plus que jamais nécessite une supervision, et une maintenance continue.

Les phases importantes que représentent la R&D, la fabrication, puis la mise en production, sont indispensables, à l'évolution continue des outils de production. De même, l' amélioration constante des process industriels restera nécessaire. Et cela seuls des humains peuvent le faire, aucune machine actuelle ne saurait se reconfigurer elle-même pour répondre aux besoin d’un marché dont les humains sont les acteurs.

 

*Industrial Internet of Things

Crédits photos, fotolia, 123 rf, dreamstime

Vous voulez nous rejoindre pour participer à nos projets ?

Étude Constructions métalliques, 2 cuves de rétention d’adjuvants de 40m3

Étude Constructions métalliques,
2 cuves de rétention d'adjuvants de 40m3


Nous sommes intervenus dans le cadre d'un projet de mise en place d'une nouvelle rétention pour un de nos clients.
Le besoin était de réaliser une rétention en acier pour accueillir 2 cuves d'adjuvants d'une capacité de 40m3.

Nous avons réalisé :
- L'avant projet
- Le projet
- Les plans d'exécutions
- La sélection technique du constructeur

Une nouvelle réalisation d'envergure pour notre département Construction Métallique.

Retrouvez notre page métier :

Constructions métalliques

Inauguration de nos nouveaux locaux de GONFREVILLE L’ORCHER

ACFT Gonfreville l'Orcher, soirée d'inauguration de nos locaux


Nous avons inauguré nos nouveaux locaux de GONFREVILLE L'ORCHER le 18 décembre 2019 en présence de plusieurs personnalités officielles :

- La Région Normandie a été représentée par M. Hubert DEJEAN DE LA BATIE,
- Le Maire de GONFREVILLE-L’ORCHER, M. Alban BRUNEAU,
- Le Vice-Président de « Le Havre Seine-Métropole », M. Florent SAINT-MARTIN.

Étant en plein développement et à la recherche de plusieurs compétences pour mener nos projets d’ingénierie, le Pôle Emploi d’HARFLEUR qui est fortement sollicité dans le cadre de cette croissance était également présent à cette inauguration.

Cette inauguration a été l’occasion de communiquer sur nos compétences pluridisciplinaires ; c’est-à-dire mécanique, construction métallique, tuyauterie, chaudronnerie, électricité, instrumentation, automatisme, infographie.

Journée SSE du 04/10/2019

Journée SSE du 04/10/2019


Cette seconde journée SSE de l’année a été l’occasion de présenter notre nouveau
collaborateur en Construction Métallique au reste de l’équipe.

 

Cette nouvelle embauche nous permet de renforcer notre activité en Construction Métallique.

 

Nous souhaitons la bienvenue à François.

ACFT Bureau d'Études est certifié MASE depuis 2013

 

 

Seconde Journée SSE 2019


Deuxième journée SSE

Après une première journée SSE ayant permis de démarrer l’année en présentant les objectifs de la direction ainsi que les objectifs individuels, celle-ci a permis de suivre l’avancement de ces objectifs.
Comme il est de coutume lors de ces journées, l’accueil a été convivial et a permis à chacun de se retrouver et de discuter de différents sujets.

La journée a débuté par un tour d’horizon des actualités de la société puis des actualités en matière de SSE.
Puis tout le monde a pu échanger autour de deux causeries :

  • Les kits d’intervention
  • Les extincteurs

avant une pause déjeuner bien méritée :

L’après-midi a débuté par 2 nouvelles causeries :

Pour conclure cette journée, une formation sur les gestes et postures a été dispensée afin de former les collaborateurs aux bonnes positions à adopter au poste de travail avec quelques exercices d’échauffement et d’étirements

Journée SSE du 26/04/2019

Journée SSE du 26/04/2019


Cette première journée SSE de l'année a été l'occasion de réunir l'ensemble des collaborateurs du site dans nos
nouveaux locaux de GONFREVILLE-L'ORCHER.

À présent installés sur plus de 200m² de bureaux sur 2 étages, nous sommes en mesure d'anticiper une croissance
de nos effectifs sur ce site.

Toutes les conditions étaient réunis pour lancer officiellement une nouvelle année sous le signe de la performance
SSE !

ACFT Bureau d'Études est certifié MASE depuis 2013

 

 

Première Journée SSE 2019


Le Vendredi 26 Avril a eu lieu la première journée SSE de l’année 2019 sur le site de GONFREVILLE-L’ORCHER.
Cette journée, a permis d’échanger sur différents thèmes touchant à la Santé, à la Sécurité et à l’Environnement et d'informer les collaborateurs sur les résultats de l'année passée et sur les objectifs pour cette année.

Après un accueil convivial autour d'un café et de quelques viennoiseries, la direction a présenté les résultats financiers 2018 et les objectifs 2019. Plusieurs informations touchant à la vie de la société et aux grands projets à venir ont pu être exposés et débattus à cette occasion.

Suite à cela, les 3 grands objectifs en matière de Santé, de Sécurité et d'Environnement ont été présentés et expliqués, et un point sur les actions en cours a été réalisé.

À la suite d'un repas remplit d'échanges, des causeries et animations SSE ont été réalisées autour de 3 sujets :

  • L'utilisation des vêtements de protection
  • Les risques oculaires
  • La gestion des gobelets plastiques

Rendez-vous début octobre pour une nouvelle journée SSE et de nouvelles actualités !

ACFT Bureau d études, agence du Havre

ACFT - Le Havre - Gonfreville l'Orcher

ACFT Bureau d'études le Havre,
emménage dans ses nouveaux locaux…

Ça y est ! Nous sommes installés dans nos nouveaux locaux.
Notre équipe vous recevra désormais à notre nouvelle adresse :

2, avenue Marcel Le Mignot, 76700 Gonfreville-L’Orcher,
que vous pouvez venir découvrir dès maintenant.

L’intégration de nouveaux bureaux s'inscrit dans le cadre du développement des activités d’ACFT.
ACFT Bureau d’Études et d’ACFT Construction travaillent en synergie,
et nous permettent de proposer à nos clients des solutions clés en mains notamment en mécanique.
La montée en puissance de notre site Havrais doit permettre à ACFT Bureau d’Études de consolider son ancrage dans la région,
et d’accroitre le rayonnement d’ACFT Construction.

Spécialisée dans les secteurs d'activités de la mécanique, de la charpente métallique, de la tuyauterie,
de la chaudronnerie et de l’EIA (Électricité, Instrumentation, Automatisme),
ACFT compte devenir une des références normandes dans les domaines de l’étude, de l’ingénierie et de la fabrication.

À présent installés sur 240m² d’espace de travail sur 2 niveaux, composés de bureaux individuels,
de 2 open-spaces et d’une salle de réunion, nous serons heureux de vous accueillir afin d’étudier
ensemble vos projets en cours ou à venir.

À très bientôt !

À noter, notre nouvelle adresse :

2, avenue Marcel Le Mignot, 76700 Gonfreville-L’Orcher

Notre page agence du Havre

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Véhicules éléctriques, ACFT se dote de deux Zoé supplémentaires

ACFT se dote de deux nouvelles ZOÉS

Dans sa logique de respect de l'environnement, ACFT Bureau d'études, se dote de deux véhicules électriques supplémentaires, afin d’assurer les déplacements de nos intervenants sur site.

Le succès du véhicule Zoé se confirme, en 2017, 30 000 exemplaires de ce véhicule 100% électrique se sont vendus en Europe. Les infrastructures de chargement se multiplient grâce aux aides de l'état, et les véhicules électriques pourraient commencer à peser un certain poids dans le paysage automobile français à l'horizon 2020.

Selon Renault, les frais en R&D devraient chuter de 40%, par rapport à la Zoe actuelle, et -30% s’agissant de la production, toujours assurée par l’usine de Flins, en France.
A terme, Renault espère proposer sa Renault Zoe 2 à un tarif quasi-équivalent à celui d’un modèle thermique. L’objectif est le même quant au coût d’utilisation sur trois ans.

La Zoe 2 voit sa capacité augmentée, et passe de 300 à 600 km théoriques (Dans la pratique 480) , et des temps de chargement encore plus courts. Petit à petit le véhicule voit son autonomie s’accroître, et pourrait rivaliser avec ses équivalent thermiques d'ici cinq ou six ans.

Vous croiserez peut-être l'un de ces véhicules sur les routes Normandes !

Électrique ou Hydrogène ? Rivalité technologique ou complémentarité ?

L'avenir appartient il à l'hydrogène ou bien à l’électrique ? C’est la question que se posent nombre d'utilisateurs, souvent par manque d'informations. En fait les deux technologies sont complémentaires, et à terme devraient être utilisées de concert. La différence entre un véhicule électrique et un véhicule à l'hydrogène se situe simplement au niveau du stockage. Dans le cas de la voiture électrique : C'est la batterie chargée qui stocke le courant, pour alimenter le véhicule. Dans le cas du véhicule à hydrogène : C'est une pile à combustible qui assure la production de courant.

Sur la route et en ville, ces véhicules ne polluent pas  :

C'est le gros avantage de ces technologies, à l'heure où les médias relayent le message d'alerte lancé par les scientifiques au sujet du très préoccupant réchauffement climatique. L'utilisation généralisée de ces véhicules permettraient aux villes de ne plus avoir à souffrir de la pollution due aux micro particules du diesel, ou bien des vapeurs d'essence. De même, sur route ces deux types de voiture ne rejettent aucun polluant dans l'atmosphère, le gain en terme d'empreinte carbone semble donc acquis en ce qui concerne les déplacements.

En revanche, la production actuelle d'électricité à grande échelle ainsi que d'hydrogène, continue de produire de très grosses quantités de CO2, des efforts sont encore à faire dans ces domaines. On ne peut pas prétendre utiliser un véhicule propre lorsque la prise qui va le recharger utilise une électricité issue d'un process employant le pétrole ou le charbon. Le but est de supprimer la pollution de manière globale, pas de la déplacer en périphérie des villes et des routes. Mais les technologies d'améliorations des différents process de production verte sont en cours de recherche, et pourraient donner de très bons résultats d'ici cinq à dix ans. A terme, cela aura pour effet de provoquer une baisse significative des émissions de CO2 dans l’atmosphère.

Sur le temps de chargement, et l'autonomie :

 

Les véhicules électriques, sur batterie devront attendre plusieurs heures suivant le système auxquels ils seront raccordés pour se charger. L'autonomie actuelle, est en moyenne de 300 km à pleine charge, et l'arrivée des nouvelles batteries, devrait pousser ce chiffre à 500 km. Ce qui commence à se rapprocher des véhicules thermiques classiques. Attention cependant, les batteries n'aiment pas l'hiver et le froid. Il faut noter que le chauffage, et les phares tirent plus de courant, et sollicitent la batterie réduisant, de facto, l'autonomie initiale.

 

Les véhicules équipés de pile à combustible (hydrogène) se chargent dans les mêmes délais qu'un véhicule thermique classique, et offrent une autonomie effective de 700 km (très proche d'un diesel).
Le seul hic, c'est que les piles à combustible sont hors de prix, en effet, leur fabrication nécessite l'utilisation de ...Platine, un métal aussi cher et rare que l'or. Ce dernier point entraîne fatalement un surcoût des véhicules à hydrogène qui avoisine un prix à l'achat de l'ordre de 77 000€, hors bonus. D'un point de vue économique et pratique, la voiture à hydrogène, n'est pas encore adaptée à tous les budgets, et la rareté de ses points de ravitaillement, pénalise encore son déploiement. Les batteries quant à elles fonctionnent au lithium, beaucoup moins cher que le platine, il fait également partie des métaux rares et convoités par les industriels de nombreux secteurs.

Les prolongateurs d'autonomie de batterie :

Afin de pallier au problème d'autonomie des batteries, le groupe Renault et d’autres acteurs du secteur automobile, ont trouvé un moyen simple et efficace, qui pourrait devenir incontournable :
Le prolongateur d'autonomie. Ce dispositif, encore en phase de test chez des clients, se décline en différentes versions : Le TENDER, et le Symbio Fcell.

-1 Le "Tender"

Développé par EP TENDER, le dispositif est un générateur qui se présente sous la forme d'une petite remorque

Dans le cas du Tender, la petite remorque accroché à la ZOÉ, contient un petit générateur électrique qui actuellement fonctionne à l'essence. L'autonomie de la batterie d'une ZOÉ de première génération, peut voir sa capacité poussée jusqu'à 700 km. Le générateur consomme 8,5 L par heure de fonctionnement, et s'utilise surtout sur les trajets routiers à vitesse soutenue, et en ville le véhicule repasse en mode  100% électrique. Le constructeur planche actuellement sur un modèle d' EP Tender utilisant une batterie auxiliaire, et imagine une autre version avec une pile à hydrogène, afin d'obtenir un véhicule 100% vert.

http://eptender.com/

 

-2 Le Symbio FCell

Le dispositif intègre directement une pile à combustible dans le véhicule électrique existant :

Sur  le Renault Kangoo ZE H2,, Symbio, va directement ajouter son système de pile à combustible et son réservoir à hydrogène dans les partie disponibles du véhicule sur batterie. Ici, on reste sur de l'hydrogène, utilisé dans le cas de longs déplacements, et l'on repasse sur batterie pour une utilisation urbaine. Pour le moment seuls les véhicules appartenant à des flottes d'entreprises, sont concernés, l'utilisation sera adaptée aux particuliers horizon 2020.

https://www.symbio.one/

Le monde des transports entre dans une nouvelle ère.

Batteries avec prolongateurs pour les voitures, piles à hydrogène pour les trains et les camions ?

Dans la catégorie poids lourds, la transition vers le tout électrique est en marche, là aussi chacun des grands constructeurs a sa propre vision et son propre concept. Mais comme l’heure est à l’innovation, les petits nouveaux comme TESLA ou Nikola Motor se dressent face aux grands noms historiques tels que Volvo, ou Daimler.

TESLA a choisi la batterie au lithium, conférant à son Truck « Semi », une autonomie de 800 km théorique, avec 30 min de chargement via les superscharger TESLA pour atteindre 80% d’autonomie. L’e-truck de Mercedes Benz, affiche des performances très inférieures, mais ne joue pas dans la catégorie des poids lourds qui effectuent de longues distances. Avec 200 km d'autonomie, le véhicule électrique du groupe DAIMLER restera essentiellement destiné à des applications en milieu urbain. Volvo choisi également la voie de la batterie au lithium, avec son FL Electric, et marche dans les pas de DAIMLER en affichant une autonomie de 300 km pour son camion. A la vue des performances affichées par les constructeurs traditionnels, TESLA se démarque loin devant.

Un concurrent de TESLA, Nikola MOTOR apporte une solution alternative avec un poids lourds dont la batterie serait alimentée par une pile à combustible : Le NIKOLAONE. Les performances pour ce type de véhicule seraient très au-delà de ce que la formule avec batterie serait en mesure de produire. Avec 1900 km d’autonomie, le Nikolaone, pourrait couvrir de très longues distances sans recharge. Dans le domaine des poids lourd, il semblerait que les moteurs électriques alimenté par une pile à combustible (l’hydrogène) auraient une bien meilleure efficience énergétique que les véhicules équipés de simples batteries.

Et enfin, le premier train à hydrogène a été livré par Alstom en basse saxe. Le Coradia iLint, présente des caractéristiques techniques semblables à celles d'un train classique roulant au diesel. avec des pointes de 140 km/h, il peut embarquer 300 passagers. Le fonctionnement du système est gérer grâce aux algorithmes, qui prennent en charge la gestion des flux d'énergies, entre la pile à combustible et les batteries, le système récupère même l’énergie dégagée par le freinage. Véritable innovation technologique, ce premier modèle a été commandé en 64 exemplaire en Allemagne et en Autriche. Dans le reste de l'EU, et notamment en France, l'idée de généraliser l'utilisation de ces train du futur sur les voies ferrées fait son chemin.

Des technologies très prometteuses, encore à leurs débuts

Les véhicules sur batteries, tout comme les véhicules à hydrogène, verront accroître leur autonomie au fil des ans, voire rejoindre et dépasser les capacités des actuels moteurs thermique. La diminution des coûts de production des batteries et et des piles à combustibles est à l'étude. Pour les batteries au lithium, il serait question de remplacer celui ci par du sodium dont la production et la rareté ne seraient plus un problème. De même pour le platine, des chercheurs planchent sur un projet visant à le remplacer par du fer, qui serait 200 fois moins cher. Une fois ces technologies acquises, les prix unitaires des véhicules devraient atteindre des tarifs abordables pour que les professionnels du transport puissent remplacer leur flotte de véhicules par du tout électrique.

Crédit photos : Fotolia, Shutterstock, Dissolve, EP Tender, Symbio, turbosquid, Adobe Stock

Réhabilitation des chais Monet, constructions métalliques

Réhabilitation des Chais Monet

Situés en plein coeur de Cognac, ils sont réhabilités en complexe hôtelier de luxe avec une centaine de chambres et suites, des appartements, deux restaurants, deux bars
d’ambiance, une salle de conférence, quatre salles de réunion, une piscine intérieure et un SPA.
L’ouverture de ce nouveau centre hôtelier est prévue pour le mois de septembre 2018.

Ce projet architectural a nécessité les compétences d’ACFT Bureau d’Études pour la réalisation de plans de la structure extérieure du bâtiment. La volonté de l’architecte a été d’avoir un cerclage rappelant les ceps de vignes de la région.L’affaire s’est réalisée en trois temps :

Mise en plan sur AutoCAD :

  • Du hors-tout béton
  • Des fenêtres
  • Des portiques tubulaires
  • Du bardage vitré
  • Des attaches de verres
  • Des ceps

Numérisation 3D :

  • Mise en place des éléments en 3D sous SolidWorks
  • Mise en place des ceps
  • Prise en compte des ondulations en vue de dessus dans le 3D

Assistance technique :

  • Mise à jour si nécessaire des lisses (ceps de vignes)
  • Mise à jour des positions éventuelles de couteaux
  • Mise en place des couteaux et ajustement en longueur
  • Modélisation des lisses avec raidisseur, pâte de fixation sur les couteaux
  • Mise en plan unitaire des différentes pièces
  • Mise à plat des lisses pour découpe laser
  • Dossier de fabrication de la structure tubulaire (portique)

Les travaux d’ACFT Bureau d’Études se sont terminés fin juin 2018. La mise en place des ceps de vignes a été finalisée en vue de l’ouverture prévue en septembre 2018.

Power to Gas Jupiter 1000

Power to Gas Jupiter 1000


La part des énergies renouvelables dans la production électrique est en pleine croissance et nécessite le développement de moyens de stockage. Parmi ces moyens, le Power to Gas consiste à transformer l’électricité en hydrogène par électrolyse de l’eau. L’hydrogène est ensuite injecté dans le réseau de gaz naturel :

  • Soit directement, l’hydrogène se mélangeant alors au gaz naturel du réseau
  • Soit après une étape de méthanation qui consiste à combiner l’hydrogène avec du CO2 capté pour produire du méthane (constituant principal du réseau de gaz naturel)

C’est dans ce contexte que le projet Jupiter 1000 a vu le jour en janvier 2015. ACFT Bureau d’Études est intervenu dans ce projet par l’intermédiaire de son client, en charge de la construction de la brique de méthanation.

Les travaux se sont déroulés entre décembre 2017 et février 2018 et concernaient les éléments suivants :

  • Réalisation de la maquette 3D à partir du PID schématisant le procédé
  • Dimensionnement des tuyauteries de l’implantation
  • Implantation des éléments dans un conteneur 20 pieds

La construction du projet Jupiter 1000 a débutée avec la pose de la première pierre à Fos-Sur-Mer (Bouches du Rhône) en décembre 2017.

La mise en service est prévue en 2018 et sera suivie d’une phase de test afin de s’assurer de la performance du projet.

Pour plus d’informations sur ce projet, visitez le site : https://www.jupiter1000.eu/

ACFT certification MASE, Normandie, Seine-maritime(76), Eure(27)

ACFT Certification MASE


ACFT Bureau d’Études a renouvelé sa certification MASE en fin d’année 2017 pour 3 nouvelles années.

Cela fait de nombreuses années qu’ACFT Bureau d’Études est impliquée dans une démarche d’amélioration continue de ses performances en Santé, Sécurité et Environnement.

Le respect de la santé de nos collaborateurs durant leurs activités, la sécurité de nos interventions chez nos clients et le respect de l’environnement sont des enjeux majeurs menant à la performance de la société.

Le renouvellement de ce certificat démontre une nouvelle fois qu’ACFT Bureau d’Études est performante dans ces domaines